Les 2 grandes cibles de l’objet publicitaire
28/03/2018
LeL’étude identifie deux grandes cibles aux profils différents :
– Les 50 ans et plus : une cible acquise à conforter. Ils conservent et utilisent régulièrement les objets publicitaires, et souhaitent en recevoir davantage, car ils les jugent utiles, pratiques, sympathiques, voire distrayants. Ils sont notamment intéressés par la papeterie et l’horlogerie. Mais l’impact de ces objets sur l’image qu’ils ont des marques reste très limité : que l’objet leur plaise ou pas n’a que peu d’influence sur leur opinion. Il s’agit donc d’une cible acquise, à solliciter régulièrement pour ne pas la décevoir, via des produits utiles, si possible éthiques, écologiques ou de qualité française, dimensions auxquelles elle est plus sensible.
– Les 18-34 ans : une cible de conquête à investir. Ils conservent les objets publicitaires, mais ont plus tendance à les oublier. Ils sont moins réceptifs et leur arrivent même de jeter les objets par manque d’intérêt, d’originalité ou d’effet de saturation. Ils en possèdent donc moins que la moyenne et les utilisent rarement. Ils sont néanmoins plus sensibles que la moyenne des Français aux articles de papeterie, aux goodies et aux objets de décoration. Ils sont en revanche moins attachés à leur garantie de fabrication. Pour autant, lorsque ces objets publicitaires leur plaisent, cela peut impacter fortement l’image qu’ils ont des marques émettrices et ils peuvent s’en faire les ambassadeurs. Et inversement, lorsque l’objet est déceptif. Leur volatilité et leur fort pouvoir de viralité en font une cible de conquête à adresser de façon plus ciblée et qualitative que quantitative. Les objets promotionnels qui leur sont proposés doivent être utiles, modernes et originaux pour les inciter à consommer et leur donner envie de parler positivement des marques.
Lire les résultats de la perception des objets publicitaires en France
Lire la typologie des produits publicitaires plébiscités en France
Lire l’intérêt des Français pour les produits high tech
Article extrait du magazine C!mag